Voix chantée, voix parlée, prise de parole en public

Tessiture, puissance, aisance,
endurance et rayonnement de la voix.

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Ce qui limite et entrave

*hors malformations / accident

La tessiture, l’aisance, la puissance, l’endurance, le rayonnement de la voix sont avant tout les tensions corporelles, notre propre façon de réagir au stress, bien souvent associé a un déficit de proprioception / coordination.

Pour être efficace, pour construire
une technique vocale solide

La première étape primordiale est de se débarrasser de ce qui entrave le bon fonctionnement de l’appareil vocal.

En effet, enchainer les exercices de technique vocale avec un usage dégradé de la voix va simplement ancrer encore plus les mauvaises habitudes d’utilisation de la voix.

L’appareil vocal ne fonctionne pas dans un vide, Il est imbriqué dans notre organisme. Si la personne parle ou chante avec des tensions qui compriment son organisme, il est illusoire de s’attendre à ce que l’appareil vocal fonctionne à son niveau le plus favorable.
Quelques exemples concrets
 de la voix est la conséquence d’un juste rapport entre la tête et la colonne, d’une gestion efficace du stress, de l’absence de tensions inutiles, d’un ancrage (c’est-à-dire un rapport au sol) fiable.

sont complètement dépendantes :

• de la qualité de la respiration (amplitude, souplesse et soutien), car les cordes vocales sont avant tout une « valve » pour les poumons.
• de l’absence de tensions autour du cou et de la mâchoire. qui sont la plupart du temps la conséquence d’un souci postural

résulte  :

• d’un rapport juste et dynamique entre la tête et la colonne vertébrale.
• de l’absence de tensions autour du cou et de la mâchoire grâce à un système postural efficace.

sont la plupart du temps une conséquence d’un déséquilibre postural, et/ou le reflet d’une attitude mentale qualifiée en Technique Alexander d’« end gaining », c’est-à-dire d’être trop fixé sur la finalité au détriment du développement des moyens par lesquels atteindre le résultat.

dépend pour une grande part de la qualité de la respiration (amplitude, souplesse, rapidité), qui dépend elle-même :
• de la fiabilité du système postural (qui ne doit pas compresser ni figer la cage thoracique)
• de notre capacité a gérer le stress et la pression

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